Avocate très disponible et très aimable, qui a fait le tour de la question, particulièrement épineuse, sans toutefois donner une réponse précise, tant est compliqué ce divorce (depuis 2000). La discussion a duré plus de quarante minutes au téléphone.
Grâce à un logiciel trouvé sur Internet, j'avais envisagé tous les cas de figure, du plus sombre au plus favorable, mais je ne sais toujours pas la date à laquelle doivent démarrer les intérêts de retard. A sa décharge, les avocats grenoblois ne savent pas non plus à quelle date je suis officiellement divorcée !