Réponse excessivement succincte (une toute petite phrase) sans développement dans le fond et sans référence.
Lorsqu'on demande des référence, seul "l’article 29 alinéa 1 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse" est proposé qui est très général... sans faire référence à L’article "L45-6 du Code des postes et des communications", à la loi du 9 juillet 2004 et l’ordonnance du 12 mars 2014 et bien d'autre texte et encore moins à la jurisprudence.
Suite à la réponse de Maitre BEM, il est possible de le questionner qu'une seul fois après quoi la discussion est clôturé par l'avocat.
Dans ma formulation j'avais fait une erreur très basique en mentionnant Volataire au lieu de Molière (niveau CM2) qui n'a pas été relevé. L'avocat s'est excusé de ne pas l'avoir relevé ce qui est tout a fait acceptable, mais se justifie en indiquant que cela ne relève pas du droit en tant que tel mais de culture littéraire. En somme, je comprend que la rédaction du cas qui lui est soumise n'ai pas du tout son affaire, il se limitera uniquement à la question qui lui est posée.
En somme la prestation peut éventuellment convenir pour avoir une idée très très sommaire, mais n'espéré pas vous en tirer une bonne base de travail utile et pertinente.